Bon, c'est vrai j'ai ouvert un blog sur blogger. J'avoue, j'ai Google Earth, Picasa 2, la recherche indexée avec Google desktop. J'ai même une adresse mail "Gmail", et j'envoie des vidéos sur Youtube et j'ai des albums web google en veux-tu en voilà.
Seulement, je me demande...
Pour générer 4.83 Md$ sur 2007, quasiment avec son seul programme de publicité ciblée "Adsense" et "Adwords", le moteur de recherche a forcément un secret.
Je me demande, forcément, qui compte ces fameux "clics" sur lesquels sont comptés les revenus "Adwords" de Google.
Faisons un petit cours sur les liens sponsorisés: les annonceurs de publicité ne payent que si l'internaute "clique" sur leur site. Un système extrêmement perfectionné à la "Big Brother" détermine avec une précision unique au monde ce qui pourrait nous intéresser. Plus les liens proposés sont pertinents, plus on clique, plus l'annonceur est content, plus Google gagne de fric !
Qui compte le nombre de clic ? Quel annonceur a les moyens de vérifier que le traffic généré sur son site vient de ces liens qu'il a chèrement payés ?
Le système "Adsense" est encore plus impossible à contourner. On ne compte pas le nombre de clic, mais le nombre de fois que le lien est apparu à l'écran par tranche de 1000. Il est alors impossible de dire si l'internaute a regardé ou pas la publicité (assez discrète) située en général à côté des infos que l'on est venu chercher.
Encore faut-il que l'annonceur ait bien ciblé le public dans sa demande ! Par exemple, un concessionnaire automobile de la région de Montréal peut voir afficher son annonce sur des sites qui traitent du monde de l’automobile. Par contre, s’il n’a pas pris la peine de limiter le territoire sur lequel ces pubs devaient être affichées, elles peuvent aussi bien apparaître chez un vendeur d’automobiles en France.
On en arrive à la conclusion:
"Google pourrait bien être vulnérable. En cas de récession, les consommateurs risquent d'effectuer moins de recherches en ligne en vue d'acheter et donc de moins cliquer sur les liens commerciaux", prévient David Hallerman, du cabinet eMarketer.
Le plus gros problème de Google, dans les mois de récessions qui nous attendent, sera de montrer qu'ils sont capables de gérer une période de décroissance tout comme ils ont digéré leur rapide succès.
Seulement, je me demande...
Pour générer 4.83 Md$ sur 2007, quasiment avec son seul programme de publicité ciblée "Adsense" et "Adwords", le moteur de recherche a forcément un secret.
Je me demande, forcément, qui compte ces fameux "clics" sur lesquels sont comptés les revenus "Adwords" de Google.
Faisons un petit cours sur les liens sponsorisés: les annonceurs de publicité ne payent que si l'internaute "clique" sur leur site. Un système extrêmement perfectionné à la "Big Brother" détermine avec une précision unique au monde ce qui pourrait nous intéresser. Plus les liens proposés sont pertinents, plus on clique, plus l'annonceur est content, plus Google gagne de fric !
Qui compte le nombre de clic ? Quel annonceur a les moyens de vérifier que le traffic généré sur son site vient de ces liens qu'il a chèrement payés ?
Le système "Adsense" est encore plus impossible à contourner. On ne compte pas le nombre de clic, mais le nombre de fois que le lien est apparu à l'écran par tranche de 1000. Il est alors impossible de dire si l'internaute a regardé ou pas la publicité (assez discrète) située en général à côté des infos que l'on est venu chercher.
Encore faut-il que l'annonceur ait bien ciblé le public dans sa demande ! Par exemple, un concessionnaire automobile de la région de Montréal peut voir afficher son annonce sur des sites qui traitent du monde de l’automobile. Par contre, s’il n’a pas pris la peine de limiter le territoire sur lequel ces pubs devaient être affichées, elles peuvent aussi bien apparaître chez un vendeur d’automobiles en France.
On en arrive à la conclusion:
"Google pourrait bien être vulnérable. En cas de récession, les consommateurs risquent d'effectuer moins de recherches en ligne en vue d'acheter et donc de moins cliquer sur les liens commerciaux", prévient David Hallerman, du cabinet eMarketer.
Le plus gros problème de Google, dans les mois de récessions qui nous attendent, sera de montrer qu'ils sont capables de gérer une période de décroissance tout comme ils ont digéré leur rapide succès.
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